•  

     

    BONNE FETE DE LA MUSIQUE


    4 commentaires

  • 5 commentaires
  • Parce que l'irresponsabilité des uns a des conséquences sur les autres!

     

    Dans un magasin je me suis retrouvée dans l'allée des jouets. Du coin de l'oeil, j'ai remarqué un petit bonhomme d'environ 5 ans, qui tenait une jolie petite poupée contre lui... Il n'arrêtait pas de lui caresser les cheveux et de la serrer doucement contre lui. Je me demandais à qui était destinée la poupée. Puis, le petit garçon se retourna vers la dame près de lui: " Ma tante, es-tu certaine que je n'ai pas assez de sous?" La dame lui répondit avec un peu d'impatience: "tu sais que tu n'as pas assez de sous pour l'acheter " . Puis sa tante lui demanda de rester là, et de l'attendre quelques minutes. Puis elle partit rapidement. Le petit garçon tenait toujours la poupée dans ses mains. Finalement, je me suis dirigée vers lui, et lui ai demandé à qui il voulait donner la poupée. " C'est la poupée que ma petite soeur désirait plus que tout pour Noël Elle était sûre que le Père Noël la lui apporterait "Je lui dis alors qu'il allait peut-être lui apporter." Il me répondit tristement: " Non, le Père Noël ne peut pas aller là où ma petite soeur se trouve maintenant... " "Il faut que je donne la poupée à ma maman pour qu'elle la lui apporte" Il avait les yeux tellement tristes en disant cela. "Elle est partie rejoindre Jésus. Papa dit que maman va aller retrouver Jésus bientôt elle aussi, alors j'ai pensé qu'elle pourrait prendre la poupée avec elle et la donner à ma petite soeur " Mon coeur s'est presque arrêté de battre. Le petit garçon a levé les yeux vers moi et m'a dit: " J'ai dit à papa de dire à maman de ne pas partir tout de suite. Je lui ai demandé d'attendre que je revienne du magasin " Puis il m'a montré une p***o de lui prise dans le magasin, sur laquelle il tenait la poupée en me disant: "Je veux que maman apporte aussi cette p***o avec elle, comme ça,elle ne m'oubliera pas. J'aime ma maman et j'aimerai qu'elle ne me quitte pas, mais papa dit qu'il faut qu'elle aille avec ma petite soeur" Puis il baissa la tête et resta silencieux. Je fouilla dans mon sac à mains, et j'en sorti une liasse de billets et je demanda au petit garçon: "Et si on recomptait tes sous une dernière fois pour être sûrs? " "OK", dit-il, "Il faut que j'en ai assez" . Je glissai mon argent avec le sien et nous avons commencé à compter. Il y en avait amplement pour la poupée et même plus. Doucement, le petit garçon murmura: "Merci Jésus pour m'avoir donné assez de sous". Puis il me regarda et dit: "J'avais demandé à Jésus de s'arranger pour que j'ai assez de sous pour acheter cette poupée afin que ma maman puisse l'apporter à ma soeur. Il a entendu ma prière. Je voulais aussi avoir assez de sous pour acheter une rose blanche à ma maman, mais je n'osais pas lui demander. Mais il m'a donné assez de sous pour acheter la poupée et la rose blanche. Vous savez, ma maman aime tellement les roses blanches..." Quelques minutes plus tard, sa tante revint, et je m'éloignai en poussant mon panier. Je terminai mon magasinage dans un état d'esprit complètement différent de celui dans lequel je l'avais commencé. Je n'arrivais pas à oublier le petit garçon. Puis, je me suis rappelée un article paru dans le journal quelques jours auparavant, qui parlait d'un conducteur en état d'ivresse qui avait frappé une voiture dans laquelle se trouvait une jeune femme et sa fille. La petite fille était morte sur le coup et la mère gravement blessée. La famille devait décider s'ils allaient la faire débrancher du respirateur. Est-ce que c'était la famille de ce petit garçon? Deux jours plus tard, je lu dans le journal que la jeune femme était morte. Je ne pu m'empêcher d'aller acheter un bouquet de roses blanches et me rendre au salon mortuaire où était exposée la jeune dame. Elle était là, tenant une jolie rose blanche dans sa main, avec la poupée et la p***o du petit garçon dans le magasin. J'ai quitté le salon en pleurant sentant que ma vie changerait pour toujours. L'amour que ce petit garçon éprouvait pour sa maman et sa soeur était tellement grand, tellement incroyable. Et en une fraction de seconde, un conducteur ivre lui a tout enlevé... Maintenant, tu as deux choix : 1) mettre cet article dans ton blog ou dans ton qui-suis je 2) faire comme si tu l'avais pas lu et qu'il ne t'avait pas touché Si tu le mets dans ton blog ou dans ton qui-suis je peut-être que tu empêcheras quelqu'un de conduire après avoir consommé de l'alcool!!!!

     


    9 commentaires
  • Belle journée les amis!

     


    12 commentaires

  • 12 commentaires
  • Série qui a trop mal vieilli mais bon sang! Quels génériques à l'époque on savait faire!!!!<--- et moi je parle comme Yoda tiens!


    4 commentaires
  •  

     

    Vipère au poing, Hervé BAZIN

     

     

    Résumé par Wikipédia.

    Durant l'été 1922, Jean et Ferdinand sont élevés par leur grand-mère paternelle dans le château familial de la Belle-Angerie, à quelques kilomètres d'Angers. Le décès de leur grand-mère oblige leurs parents, Jacques et Paule, à quitter la Chine où le père est cadre dans une université chinoise, pour revenir s’occuper de leurs enfants.

    Avec impatience et curiosité, les deux enfants attendent leurs parents et le petit frère qu’ils ne connaissent pas sur le quai de la gare. En se jetant sur leur mère pour l’embrasser, ils se font violemment repousser par cette dernière qui souhaite descendre tranquillement du train. Leur nouveau petit frère, Marcel, leur adresse un salut presque froid. Seul leur père les embrasse.

    De retour au château, la famille et le personnel sont convoqués dans la salle à manger pour écouter la nouvelle organisation de la famille : le père annonce un emploi du temps spartiate, avec messe dans la chapelle privée dès le commencement de la journée, vers 5 h 30, et à son achèvement vers 21 h 30. Pendant la journée, les études sont dispensées par l'abbé qui vit avec eux. Soudain, le père prend prétexte d’avoir des mouches à piquer pour se retirer, laissant ainsi sa femme, Paule, annoncer ses propres directives : les enfants n’auront plus le droit au café au lait le matin mais à la soupe, ils auront les cheveux tondus par mesure d'hygiène et, par sécurité, elle ôte les poêles, les édredons et les coussins dans leur chambre. Elle leur confisque tous leurs objets personnels. Quant aux heures de recréations, elles doivent être consacrées à l'entretien du parc. Pour ne pas user leurs chaussures et chaussettes, elle leur impose le port de lourds sabots, qu'ils « peuvent » porter avec de la paille s'il fait froid…

    En peu de temps, les enfants sont affamés, frigorifiés, privés de tout confort, de toute tendresse, et constamment sujets à des brimades, punitions ou humiliations de la part de leur mère, sous l'œil de leur père qui semble préférer ne rien voir pour éviter un conflit avec sa femme.

    Au cours des repas, elle n’hésite pas à piquer violemment un de ses fils avec la fourchette s'ils n’adoptent pas une tenue qu'elle considère correcte. Quand la gouvernante tente de s’interposer, Paule la renvoie immédiatement, comme elle l'a déjà fait pour tout le personnel, à l’exception de Fine, la vieille cuisinière, à sa merci du fait qu'elle est sourde et muette. Les enfants qui détestent leur mère lui trouvent le surnom qu'elle porte dorénavant en permanence : « Folcoche », contraction de Folle et Cochonne. Ils gravent partout où ils le peuvent des VF rituels, signifiant Vengeance à Folcoche. Jean, le narrateur, est le fils qu'elle déteste le plus car il fait preuve d'une certaine audace, notamment en la fixant intensément pendant les repas, "rituel" que les frères appellent « pistolétade ».

    (J'abrège ici car le résumé sur Wikipédia est trop long, pas assez synthétisé à mon goût). Les extraits que je vais mettre me semblent tellement plus éloquents). 

     

     

    (...)Mais ton regard est entré dans le mien et ton jeu est entré dans mon jeu. Toujours en silence, toujours infiniment correct comme il convient, je te provoque avec une grande satisfaction. Je te cause, Folcoche, m'entends-tu ? Oui, tu m'entends. Alors je vais te dire : "T'es moche ! Tu as les cheveux sec, le menton mal foutu, tes oreilles sont trop grandes. T'es moche, ma mère. Et si tu savais comme je ne t'aime pas. Je te le dis avec la même sincérité que le "va, je ne te hais point" de Chimène, dont nous étudions en ce moment le cornélien caractère. Moi, je ne t'aime pas. Je pourrais te dire que je te hais, mais ça serait moins fort. Oh! tu peux durcir ton vert de prunelle, ton vert-de-gris de poison de regard. Moi, je ne baisserai pas les yeux.(...)

     

    (...)Certes, nous étions satisfaits du départ de Folcoche. Heureux, non. On ne construit pas un bonheur sur les ruines d'une longue misère. Notre joie n'avait pas de boussole. Nous étions désorientés. J'imagine assez le désarroi des adorateurs de Molock et Kali, soudain privés de leurs vilains dieux. Nous n'avions rien à mettre à la place du nôtre. La haine, beaucoup plus encore que l'amour, ça occupe.(...)


    7 commentaires

  • 7 commentaires
  • Je crois que tu aimes bien ce Film ma Cat!!!

    Pour toi, j'adoreeeeeee ce passege et cet musique Bust Your Windows"

    Celle ci c'est du film "DANCE WITHE ME" avec Anthonio Banderas!


    8 commentaires
  • Georges Milton et Lennie Small sont deux amis qui errent sur les routes de Californie en travaillant comme saisonniers de ranch en ranch. George et Lennie partagent depuis toujours le même rêve : posséder un jour une petite exploitation, pour y vivre « comme des rentiers » et y élever des lapins. Lennie nourrit une passion bien enfantine : il se plaît énormément à caresser les choses douces. Doté d’une très grande force physique, il ne parvient pas à dominer sa puissance hors de l'ordinaire. Il est également intellectuellement déficient, et passe constamment pour un « idiot ».

    Cela finit par lui causer des ennuis notamment avec Curley, le fils du patron, et sa belle et jeune femme. En effet, lorsque cette dernière va proposer à Lennie de toucher ses cheveux, tout va mal tourner. (WIKIPEDIA)

     

    Extrait:

    (...)

     «- Les types comme nous, ils n'ont pas de famille. Ils s' font un peu d'argent, et puis ils le dépensent tout. Y a personne dans le monde pour se faire de la bile à leur sujet...- Mais pas nous, s'écria Lennie tout heureux. Raconte comment c'est pour nous.
    Georges resta un instant tranquille :
    - Mais pas nous, dit-il.
    - Parce que...
    Parce que moi, j' t'ai et...
    - Et moi, j' t'ai. On est là tous les deux à se faire de la bile l'un pour l'autre, voilà ! s'écria Lennie, triomphant. »(...)

     

     

    (...) Elles étaient si petites, dit-il pour s'excuser. J’les caressais, et puis bientôt, elles me mordaient les doigts, alors, je leur pressais un peu la tête, et puis elles étaient mortes... parce qu'elles étaient si petites. George, j’voudrais bien qu'on les ait bientôt, les lapins. Ils n' sont pas si petits(...)


    3 commentaires