• LeL'épouvanteur, Joseph DELAUNEY

     

     

    Tome 1:

    Tom, un garcon de 13ans, devient l'apprenti de l'épouvanteur et apprend comment combattre l'obscur. Mais tres vite, Tom commet une erreur en faisant confiance a une jeune . . . sorciere !!! Cette erreur aurait pu lui etre fatale  ainsi que pour tout le Comté car par sa faute, une des plus dangeureuses sorcieres du Comté a été libéré apres des dizaines d'années de captivitées. Heuresement, Tom n'est pas un apprenti ordinaire et parvient a rétablir la situation grace a son courage mais contrairement a ce qu'il croit, La sorciere n'a pas dit son dernier mot et compte bien revenira la vie a un moment ou a un autre . . .

    MON AVIS:

    La saga de L'épouvanteur, Joseph DELAUNEY

     

    Ce premier tome nous fait découvrir un monde où les créatures de l'obscur sont omniprésentes. Un monde rude où survivre est un combat de tous les jours. L'intrigue est un prétexte à mettre en place les personnages dont Tom l'apprenti-épouvanteur jeune garçon de 13 ans hors du commun et très attachant ainsi-que les personnages qui gravitent autour de lui.

    On ne s'ennuie jamais, le style de Joseph DELANEY est impeccable. Juste ce qu'il faut de description des landes où se déroulent les évènements, juste ce qu'il faut de description des créatures de l'obscur pour que l'on puisse bien comprendre la mythologie de ce monde.

    On aime aimer les personnages bons, on aime détester les personnages foncièrement mauvais, on aime se méfier des personnages ambigüs. Bref, c'est un excellent moment de lecture à passer...

    Personnellement, j'en suis au tome X! 

     

     

    Extraits de l'épouvanteur tome 1



    (...) Huit marches plus bas, je franchis le tournant; la cave m'apparut, pas très grande, pleine de recoins obscurs, que la flamme de la chandelle n'arrivait pas à éclairer. D'épaisses toiles d'araignées pendaient du plafond vouté telles des tentures déchirées, des morceaux de charbons traînaient sur le sol en terre battue. Je contournai un tonneau à bière et une table bancale...
    Je distinguai alors quelque chose derrière un tas de cageots. D'effrois, je faillis lâcher le chandelier. C'était une forme sombre, ressemblant vaguement à un tas de chiffons. Il en sortait un bruit étouffé, régulier : ça respirait ! 
    Il me fallut user de toute ma volonté pour obliger mes jambes à remuer. J'avançais d'un pas, d'un autre, d'un autre encore...
    La chose se dressa soudain devant moi, immense silhouette encapuchonnée de noir, avec des yeux luisant d'une terrifiante lueur verte. (...)

     

     

    (...)On m'emportait vers la porte de la cave! je ne voyais pas celui qui me tenait, j'entendais juste sa respiration sifflante. Je me débattis frénétiquement, car, au fond de moi, je savais ce qui allait arriver. Je savais pourquoi on avait creusé une fosse.On allait me descendre dans cette cave, par cet escalier obscur. Et c’était une tombe qui m'attendait. J'allais être enterré vivant.(...) 


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  • Les petits secrets d'Emma, par Sophie KINSELLA

     

     

    Ce n'est pas qu'Emma soit menteuse, c'est juste qu'elle a des petits secrets. Des trucs pas bien méchants. Par exemple, elle fait un bon 40, pas du 36. Elle trouve que Connor, son petit ami, ressemble étrangement au Ken de Barbie. Elle ne supporte pas les strings. Elle a très légèrement embelli son CV. Elle déteste sa cousine Kerry. Et avec Connor, au lit, c'est pas franchement l'extase. Bref, rien de bien méchant, mais plutôt mourir que de l'avouer. Mourir ? Justement ! Lors d'un voyage en avion passablement mouvementé, Emma croit bien voir sa dernière heure arriver. Prise de panique, elle déballe tout au séduisant inconnu assis à côté d'elle. Sans savoir que l'inconnu en question n'est autre que son P.-D.G. Passé le soulagement de sortir vivante de ce vol infernal, Emma réalise qu'elle vient de se mettre dans une situation pour le moins embarrassante...
     
     
    MON AVIS:
     

    Les petits secrets d'Emma, par Sophie KINSELLA

     

     

    L'histoire, si elle reste classique, est bien écrite. Style léger mais impeccable. C'est drôle, romantique à souhait, entre Working girl et Au Bonheur des Dames.

    Quelques clichés biensûr, mais on les avale avec plaisir tant les personnages sont sympathiques et les situations assez amusantes. Emma est un peu comme nous toutes les jours où l'on gaffe, où l'on est tête en l'air les jours où on ne rêve que d'amour!

    En bref, cette comédie romantique (très girly attention les hommes ne comprendront pas tout ou trouveront ça un peu bizarre) est un bon moment de lecture à passer sans se prendre la tête mais bien pour se l'aérer.


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  • De MIRLEN

     

    Avez-vous déjà visité le blog de cette jeune fille? Eh bien, vous devriez...

    J'ai eu le plaisir de lire un de ses nouvelles dans une catégorie "horreur" JUNO et j'avais été très impressionnée par son style. "Il y a du Stephen KING chez cette demoiselle", m'étais-je dit...

     

    Et là, la curiosité m'a fait lire ses pages, un nouvelle toute fraîche:

    My first time.

     

    Eh bien, je peux vous dire que j'ai été encore scotchée. Quelle maturité demoiselle Mirlen! L'histoire d'un jeune homme, à l'aube de sa vie, condamné à mort par un coeur défaillant. Plusieurs thèmes difficiles sont abordés très finement.

    Beaucoup de dialogues, texte très vivant, beaucoup de sentiments et d'émotion. Un peu de suspens même...

    Bref, allez chez Mirlen lire ses pages, vous m'en direz des nouvelles!!! ^^

     

    extrait (après tout, soyons fous!)

    Adieu, lycée. L'endroit ou je ne me suis jamais vraiment senti à ma place, où tout m'oppressait et où

    tout le monde (ou presque) était constamment inquiet. Adieu lycée, adieu études, adieu copains,

    copines et professeurs. Adieu travail, adieu avenir...

    Je suis Nathan Cambert et j'ai dix sept ans. Je suis assez grand, plutôt maigre et j'ai le teint très pâle.

    J'ai aussi les yeux verts et des cheveux marron assez clairs. J'ai une maladie incurable au cœur qui

    rend impossible la greffe et il y a deux jours, mes parents m'ont dé-scolarisé. Mais je l'ai voulu, je

    l'ai demandé. Avant de savoir que j'allais bientôt mourir et que mes jours étaient presque comptés, je

    n'avais jamais fait le bilan sur ma vie. Sur ce que j'avais accompli, réussi et ce que j'avais perdu... Il

    n'y a qu'une semaine que le médecin de l'hôpital Bretston m'avait annoncé, une expression désolée

    et presque triste sur le visage : « Je suis désolé M. Cambert, il n'y a hélas rien à faire »... Mon cœur

    a fait un bond (comme s'il n'était pas déjà assez malade pour s'agiter comme ça). Je n'ai rien pu dire

    ni faire sur le moment. Je me souviens de l'air glacé qui tournait dans le petit cabinet, avalé et

    recraché sans cesse par la climatisation qui produisait un bourdonnement de fond dans la pièce. Je

    me souviens de la lumière très blanche des néons qui donnait à chacun de nous un teint cadavérique.

    Je me souviens surtout du silence qui régnait par-dessus le bourdonnement de la machine. Le temps

    semblait s'être arrêté. Nous étions là tous les quatre – le docteur, moi et mes parents –, et personne

    ne pipait mot. La tension était palpable dans l'air et celui-ci vous piquait le nez et vous filait des

    frissons en s'engouffrant jusqu'à vos os sous votre pull. Oui, je me souviens de tout cela. Par un

    miracle de la nature, ma mère parvint à se redresser et à émettre un petit son.

    Que fallait-il dire ? Ou plutôt, que pouvait-on dire dans un moment pareil ? On vous lâche à la

    figure que votre fils – ou vous même – va bientôt crever et on attend votre réponse. Que peut-on

    dire ? Qui trouve la force, en ces moments-là, de ne serait-ce qu'ouvrir la bouche ?

    Mon père la trouva. « Très bien », balbutia-t-il au médecin. Alors il se leva, nous le suivîmes, et le

    docteur en blouse blanche, flottant comme un spectre, nous raccompagna vers la porte. Des

    poignées de main et ce fut fini. Dès que la porte se referma, j'entendis des sanglots et le son d'un

    corps tombant lourdement à terre après avoir glissé de dos contre la porte. Ma mère étouffa ses

    pleurs dans un mouchoir mais la larme que je vis tomber à ses pieds n'avait pas été étouffée, elle.

    Mon père avait le visage dur et tendu, aussi rigide qu'un bloc de glace. Et moi, je n'arrivais pas à

    réalise ce qui se passait. Le trajet fut silencieux – si on passe sur les reniflements que produisait ma

    mère dans son mouchoir – et une fois rentrés, nous laissâmes enfin libre cours à toutes nos

    émotions. Mon père et ma mère me serrèrent tour à tour fort dans leur bras et ils pleurèrent et

    pleurèrent encore, inondant le canapé de gouttes salées. Moi, j'étais anéanti de voir mes parents

    dans cet état-là. Je m'inquiétais à cet instant là plus pour eux que pour moi-même. Après une bonne

    heure, restés assis à pleurer sur le sofa, les yeux tout rouges et encore pleins de larmes, mes parents

    me lâchèrent et quittèrent le salon sans un mot. Tout ce mutisme, je n'aimais pas ça. Je n'allais

    bientôt plus être capable d'entendre aucune voix et voilà déjà que l'on m'en privait. Je suis monté

    dans ma chambre et je me suis affalé sur mon lit.

    J'ai commencé à penser... Je vais mourir. C'est ce qui se répétait sans cesse dans ma tête depuis que

    nous avions quitté l'hôpital. Je vais mourir. Je vais mourir. Mais cette phrase semblait dépourvue de

    sens tant je la répétais.

    JE VAIS MOURIR. [...]


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    CORBEAU, Patricia BRIGGS

    CORBEAU, Patricia BRIGGS

     

    La cité de Colossaë fut longtemps un havre d’étude pour tous les sorciers. Mais, à repousser toujours plus loin les limites de leurs pouvoirs, ils libérèrent une entité maléfique qu’ils ne purent contenir qu’en sacrifiant leur propre ville. Des cendres de Colossaë naquit alors le peuple des Voyageurs, qui vont à travers le monde pour combattre l’Ombre et veiller à ce que le Traqueur demeure en sa prison. Or, craints de ceux qui redoutent la magie, les clans Voyageurs ont été décimés par les hommes qu’ils ont juré de protéger…
    Séraphe est l’une des dernières Voyageuses, un Corbeau-Mage, qu’un ancien soldat, Tiër, a sauvée in extremis. Ensemble, ils se sont construit une vie tranquille. Séraphe se sent enfin libérée du fardeau de sa mission...

     

     

     

    MON AVIS 

     

    CORBEAU, Patricia BRIGGS

     

     

     

    Si vous connaissez les histoires trépidantes de Mercy THOMPSON, alors vous connaissez Madame Patricia BRIGGS. (Pour ceux qui ne connaîtraient pas.. eh bien ça me fait penser que je devrais peut-être écrire un article sur cette autre série! ^^)

    Oui, mais dans cette série en 2 tomes, nous voilà bien loin du style d'écriture dont l'auteur use habituellement pour sa BIT-LIT ou urban fantasy.

    Elle nous offre un style un peu plus soutenu, nous  décrit un monde médiéval fantastique où règne la magie, sous différentes formes, et relate une intrigue vraiment bien ficelée. Les personnages sont attachants, tous mystérieux. La trame est facile à suivre sans être banale.

    L'intrigue n'offre pas forcément beaucoup de scènes d'actions mais on ne peut s'empêcher de vouloir connaître la fin de l'histoire de Séraphe et sa famille...Difficile de décrocher une fois la lecture commencée. 

    Bref, un très bon moment de lecture!  


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  • Vient de paraître...!

    Son recueil de poésies est édité chez Edilivre.

     

    Je lui fait un peu de pub car j'aime vraiment beaucoup ses écrits :-)

    Bonne chance avec son recueil!!!

    Copine de chez Psyché d'âmes, on a bien accroché, nos univers poétiques se ressemblant beaucoup...

     

     

    Voici l'un de ses poèmes qu'elle a déposé chez moi en réponse en rimes à ma "Comptine pour enfance perdue"

     

     

    Ton conte est bon!

     

    De dessous une pèlerine
    D'un rouge vif, d'un rouge sang,
    Dans la forêt, seule chemine,
    Cachant un visage innocent,

    Toute ingénue de sa jeunesse,
    Une fillette de bon choix.
    Prend garde petite princesse
    Au loup qui rôde dans ces bois!

    De dessous une capeline
    Un rouge vif, un rouge sang
    Souligne ses lèvres coquines
    Qui cachent un sacré mordant.

    Prends garde aux semblants de surface,
    O loup qui rôde dans ses bois,
    Que le dindon cru de la farce
    Cette fois-ci ne soit pas toi!

    Nous n'en n'aurions que peu de peine:
    La bonne morale prévaut,
    Dans ce clin d'œil à La Fontaine
    Dont elle ne boira point l'eau.

    Aujourd'hui, ce n'est plus la peine
    De nous raconter du pipo.
    Finis, vos contes à l'ancienne!
    N'est-il pas vrai Monsieur Perrault?


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    Keleana, la plus célèbre assassineuse du royaume d'Adarlan, a été condamnée aux travaux forcés dans les mines de sel. Pour gagner sa liberté, elle doit représenter le prince héritier Dorian, dans un tournoi à mort dont l'unique survivant servira le roi pendant quatre ans.

    Mystérieusement, les concurrents sont éliminés les uns après les autres de façon extrêmement violente. D'obscures forces magiques semblent ressurgir dans l'ombre du royaume et la jeune assassineuse va devoir leur faire face... Heureusement, elle pourra compter sur l'aide de deux hommes : son entraîneur, le beau capitaine Chaol, et le prince Dorian en personne, qui sont tous deux tombés amoureux d'elle. Et dont les charmes ne la laissent pas indifférente...

     

     

    MON AVIS

     

     

    Monde médiéval fantastique qui m'est cher. Il serait fort dommage que ce roman soit le seul . il met en place des personnages haut en couleur évoluant dans  un monde de magie et de démons et de tyrannie.

    kéléana est une femme forte, redoutable et attachante et l'on aimerait savoir ce qu'il va advenir d'elle...

    L'histoire est bien construite, la lecture en est facile car très fluide, bien rythmée. Un léger parfum de romance, de bons combats, de la magie noire et les ingrédients sont là pour vous plonger dans l'intrigue jusqu'au dénouement.

    Un tome 2 donnerait toute son ampleur à cette histoire.

    en attendant, lisez les aventures de cette assassineuse implacable au coeur tendre!

     

    Si je ne vous ai pas encore donné envie de le lire, voici un petit cadeau: le book trailer  monté par Sarah J. MAAS elle-même...


    28 commentaires
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    DOCTEUR SLEEP, Stephen King

     

    Danny Torrance a grandi. Ses démons aussi... 
    La suite tant attendue du cultissime Shining.

    Stephen King renoue avec l histoire et le personnage de l un de ses plus grands succès : Shining. Le petit Dany Torrance est désormais adulte. Il a échappé au sort de son père alcoolique et travaille en tant qu aide-soignant dans un hospice où il utilise ses pouvoirs surnaturels pour apaiser la souffrance des mourants. D où son surnom : Docteur Sleep. Il rencontre Abra, fillette de 12 ans, pourchassée par un étrange groupe de voyageurs qui traversent les Etats-Unis en se nourrissant de la lumière des enfants télépathes. Commence alors une guerre épique entre le bien et le mal...

     

     

    Mon avis 

    DOCTEUR SLEEP, Stephen King

     

     

    Je suis une grande fan de Shining (oui c'est sans doute le roman que j'ai lu qui m'aura le plus effrayé. Merci SK!). Donc quand le roman est sorti et que j'ai su que c'était la suite des aventures du petit Dan Torrance, j'ai tout fait pour me  le procurer.

     

    Or donc, quid de cette suite? 

    Eh bien, je la trouve très réussie. Pas si simple de retrouver l'ambiance dégagée par l'Overlook et ses fantômes alors M.KING  a su intelligemment nous offrir une autre sorte d'horreur. Le petit Dan a grandi, traînant ses casseroles: ben oui, des monstres ont tenté de le bouffer quand il était môme rappelons-le, (qui ne serait pas traumatisé?) car il possède "le don" et ils n'en ont pas fini avec lui. 

    On assiste à une intrigue qui joue beaucoup sur une guerre des nerfs. Dan va devoir affronter une bonne fois pour toute ces fameux démons et accepter qui il est en aidant une jeune fille qui est devenue la proie numéro 1 à présent d'un groupe de "suceurs d'âme".

     


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  • Bon Croky.. voilà... En ce moment je lis...

    "Sara Gallagher, 34 ans, mère d'une fillette de 6 ans, sait depuis toujours qu'elle a été adoptée. Mais, alors qu'elle se prépare à épouser Evan, la jeune femme souhaite découvrir qui sont ses véritables parents.
    Ses recherches ne passent pas inaperçues et alertent son père biologique, qui n';est autre que le tristement célèbre Tueur des Campings, un serial killer que la police canadienne cherche à coincer depuis des années.
    Quand ce dernier - qui prétend se prénommer John - prend contact avec elle pour faire sa connaissance, Sara se retrouve prise au piège. Elle ne veut pas lui parler. Lui menace de tuer si elle interrompt leurs conversations téléphoniques. Et il passe à l'acte...
    De plus, la police pousse la jeune femme à poursuivre leur échange pour localiser le tueur. Mais le pire est à venir. Un jour, John réussit à attirer Sara et sa fille dans une cabane perdue au fond des bois sur l'île de Vancouver..."

     

    J'ai commencé il y a 2 jours, pour le moment j'aime assez... Lecture facile, beaucoup de dialogues assez bien rythmés. Personnage central assez attachant avec une histoire personnelle compliquée et torturée.

    Le personnage sombre vient tout juste d'entrer en scène... Alors wait and see....

     

     

    MON AVIS

     

    Chevy Stevens a fait un travail admirable sur la psychologie des personnages.

    L'histoire se déroule du point de vue de la narratrice qui est "l'héroïne". Le suspens procède essentiellement de ce choix. Le personnage a peur, le lecteur a donc peur aussi.

    Peut-être un peu facile dans la mesure où notre serial Killer n'a rien d'un Ted Bundy...

    L'histoire se tient bien, bon dénouement avec un bon rebondissement final.

    Mais vraiment, plus que par l'effroi du serial killer, ce roman vaut par le détail de la psychologie des personnages.

    Un bon moment à passer en lecture.

    S'il devait être mis en scène, ça ferait un bon téléfilm...

    Bref, j'ai bien aimé mais on est loin d'un Dragon rouge ou Silence des Agneaux...

     


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