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Par Catiminy le 26 Novembre 2013 à 09:38
La Dame du Nil a existé . Seize siècles avant Cléopâtre, une femme, et ce fut la seule des trente dynasties, régna sur l'Egypte . Elle s'appelait Hatchepsout, fille cadette du pharaon Thoutmosis Ier, et connut un destin fabuleux .
Son père devinant en elle un caractère hors du commun, la promit au pouvoir dès son plus jeune âge et celà en dépit de l'hostilité des grands prêtres . A sa mort, Hatchepsout incapable, en tant que femme, d'être officiellement sacrée pharaon, dut se résigner, afin de légitimer l'autorité que le peuple lui reconnaissait déjà, à épouser son demi-frère . De ce personnage falot, qui lui laissa diriger le pays à sa guise, elle n'eut que des filles alors que lui-même, d'une concubine eut un fils qu'il désigna comme héritier et, par là, futur rival d'Hatchepsout...Ce roman, je l'ai lu la première fois quand j'avais 11 ans et que j'étais férue de mythologie grecque et égyptienne, ainsi que d'histoire ancienne.
Je l'ai relu ensuite, avec plus de maturité. Ce roman est remarquablement bien écrit, aborde l'histoire de cette femme hors pair au destin hors du commun.
Je vous le recommande vraiment, pour peu que vous aimiez le genre roman historique. :-)
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Par Catiminy le 5 Octobre 2013 à 19:37
"Richard Cypher est un modeste garde forestier ordinaire qui vit en Terre d'Ouest. Pour lui comme pour tous les autres habitants de cette région, le monde s'arrête à la Frontière, barrière infranchissable et terrifiante. Mais un jour, son chemin croise celui d'une étrange femme traquée du nom de Kalhan, se prétendant originaire des Contrées du Milieu, de l'autre côté de la Frontière. En lui sauvant la vie, il s'implique sans le vouloir dans une histoire qui le dépasse : la Frontière s'affaiblit et le Seigneur de D'Hara veut profiter de cette opportunité pour conquérir les Contrées du Milieu et soumettre le monde. À l'aide de Kahlan et du Sorcier de Premier Ordre Zeddicus Zul' Zorander qui s'était exilé en Terre D'Ouest des années auparavant, Richard, nommé Sourcier de Vérité, va devoir se lancer dans une quête dont dépendra le sort de l'humanité, brandissant au poing l'Épée de Vérité, arme magique et puissante, symbole de son statut." (Wiki)
Les leçons du sorcier
Chaque tome du cycle énonce une règle (de l'anglais rule, traduit leçon). Chacune de ces règles possède une dimension philosophique.
Voici les règles énoncées dans le cycle:
- « Les gens ont tendance à tenir pour vrai ce qu'ils souhaitent être la vérité ou ce qu'ils redoutent être la vérité. » Richard mettra en application cette règle pour défaire Darken Rahl.
Si vous voulez découvrir les autres règles du sorcier, il faudra les découvrir en lisant les 12 autres tomes.... Je vous assure qu'ils sont captivants!!!!!!!
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- Dette d'os, Bragelonne, 2008 ((en) Debt of Bones, 1998)
- La Première Leçon du sorcier, Bragelonne, 2003 ((en) Wizard's First Rule, 1994)
- La Pierre des larmes, Bragelonne, 2003 ((en) Stone of Tears, 1995)
- Le Sang de la déchirure, Bragelonne, 2004 ((en) Blood of the Fold, 1996)
- Le Temple des vents, Bragelonne, 2005 ((en) Temple of the Winds, 1997)
- L'Âme du feu, Bragelonne, 2006 ((en) Soul of the Fire, 1999)
- La Foi des réprouvés, Bragelonne, 2007 ((en) Faith of the Fallen, 2000)
- Les Piliers de la création, Bragelonne, 2007 ((en) The Pillars of Creation, 2001)
- L'Empire des vaincus, Bragelonne, 2008 ((en) Naked Empire, 2003)
- La Chaîne de flammes, Bragelonne, 2009 ((en) Chainfire, 2005)
- Le Fantôme du souvenir, Bragelonne, 2010 ((en) Phantom, 2006)
- L'Ombre d'une inquisitrice, Bragelonne, 2011 ((en) Confessor, 2007)
- La machine à présages, Bragelonne.
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Par Catiminy le 21 Septembre 2013 à 20:57
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Forteresse digitale
deDan Brown
Lorsque le super-ordinateur de décryptage de la NSA ne parvient pas à déchiffrer un code, l'agence appelle à la rescousse sa cryptanalyste en chef, Susan Fletcher, une belle et brillante mathématicienne. Ce que va découvrir Susan ébranle tous les échelons du pouvoir : la NSA est prise en otage - non sous la menace d'une arme ou d'une bombe, mais par un système de cryptage inviolable qui, s'il était mis sur le marché, pulvériserait tout le renseignement américain !
Prise dans un tourbillon de secrets et de faux-semblants, Susan se bat pour sortir l'agence de ce piège. Trahie de tous côtés, il ne s'agit bientôt plus seulement pour elle, de défendre son pays mais de sauver sa propre vie, ainsi que celle de l'homme qu'elle aime.Vraiment, un très bon roman à suspens un très bon Dan Brown..; et pour ceux qui auraient eu du mal avec les trucs alambiqués du Da Vinci Code, entre autres, la lecture est plus simple mais le scénario est béton! Un bon moment à passer!
"Au fil du temps, le concept inventé par César fut repris par d’autres, et les codes évoluèrent pour devenir de plus en plus complexes. Les encodages non informatisés connurent leur heure de gloire pendant la Seconde Guerre mondiale."
"Et maintenant, contre toute attente, un touriste canadien se baladait à Séville avec, dans la poche, la clé du plus puissant algorithme de codage du monde."
"— Je vais prendre ça pour un oui, déclara-t-il. Et ils firent l’amour toute la nuit, à la lueur de la cheminée. Ce soir magique datait maintenant de six mois – juste avant la promotion inattendue de David au poste de directeur du Département de langues modernes de Georgetown. Depuis ce moment, leur relation était sur une pente descendante"
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Par Catiminy le 11 Septembre 2013 à 21:49
Aujourd'hui centenaire et vivant dans une maison de retraite, Paul Edgecombe écrit son histoire. Il était en 1932 le gardien-chef du bloc E (réservé aux condamnés à mort et surnommé « la ligne verte ») du pénitencier de Cold Mountain, en Louisiane. Il tente, avec son équipe composée des gardiens Brutus « Brutal » Howell, Dean Stanton et Harry Terwilliger, de faire en sorte que les conditions de vie soient les plus humaines possibles pour les condamnés mais Percy Wetmore, un gardien nouveau venu qui a des relations haut placées, lui donne du fil à retordre à ce niveau car il ne cesse de harceler les prisonniers. John Caffey, un gigantesque Noir condamné pour le viol et le double meurtre de deux fillettes, fait son arrivée dans le bloc E, où est déjà détenu Édouard Delacroix, un cajun pyromane. Malgré le meurtre affreux pour lequel il est condamné, Caffey semble être d'un naturel doux et timide.
Paul souffre d'une infection urinaire mais en est guéri par un simple contact des mains de John Caffey, qui semble aspirer son mal. Plus tard, Caffey parvient même à sauver Mister Jingles, une souris extrêmement intelligente qu'a adoptée Delacroix et qui agonisait après s'être fait écraser par Percy. Un nouveau détenu arrive au bloc, William Wharton, et celui-ci est décidé à rendre la vie des gardiens la plus difficile possible. Dès son arrivée, il manque d'étrangler Dean Stanton et, à une autre occasion, il humilie publiquement Percy. Pour se débarrasser de ce dernier, Paul lui promet qu'il dirigera la prochaine exécution, celle de Delacroix, après quoi il demandera sa mutation dans un hôpital psychiatrique. Percy accepte le marché mais, le jour de l'exécution, il omet délibérément de mouiller l'éponge qui doit conduire le courant et assurer une mort rapide sur la chaise électrique. Delacroix meurt donc dans d'atroces souffrances.
Quelque temps plus tard, Paul et son équipe droguent Wharton, enferment Percy dans une cellule d'isolement et font sortir Caffey pour le mener à Melinda Moores, la femme du directeur de la prison qui est atteinte d'une tumeur du cerveau. Caffey réussit à la soigner mais garde le mal en lui au lieu de le recracher. De retour au pénitencier, Caffey transmet son mal à Percy et celui-ci, pris de folie, abat Wharton de plusieurs balles avant de sombrer dans la catatonie. Percy est envoyé, mais en tant que patient, dans l'hôpital psychiatrique où il devait être transféré et ne sortira jamais de son état catatonique.
Paul, qui a mené son enquête sur les meurtres dont Caffey est accusé, acquiert la certitude de son innocence quand il apprend que Wharton avait travaillé chez le fermier dont les deux filles sont mortes. Caffey le lui confirme, ayant acquis ce savoir lors d'un bref contact avec Wharton, raison pour laquelle il a fait en sorte que celui-ci soit tué par Percy. Caffey, qui passait là par hasard, s'est fait prendre alors qu'il tentait vainement de ramener les fillettes à la vie à l'aide de son pouvoir guérisseur. Paul et son équipe se demandent alors s'ils peuvent faire évader Caffey mais celui-ci leur enlève leur dilemme en annonçant à Paul que, fatigué de vivre dans ce monde dont il ressent toute la douleur et la violence, il souhaite mourir. Caffey meurt sur la chaise électrique. Paul et Brutus démissionnent peu après.
Ayant terminé son histoire, Paul la fait lire à Elaine, sa meilleure amie de la maison de retraite, et la conduit à l'endroit où il garde Mister Jingles, la souris qui est toujours vivante grâce au pouvoir de Caffey. C'est aussi la raison pour laquelle Paul est en assez bonne forme et paraît trente ans de moins que son âge. Mister Jingles meurt peu après, ainsi qu'Elaine. Paul, qui trouve que la ligne verte est bien longue, se demande combien de temps il va encore devoir vivre.
"Boss, j'suis fatigué à cause de toute la souffrance que j'entends et que j'sens. J'suis fatigué d'courir les routes et d'être seul comme un merle sous la pluie. De pas avoir un camarade avec qui marcher ou pour me dire où on va et pourquoi. J'suis fatigué de voir les gens se battre entre eux. C'est comme si j'avais des bouts de verre dans la tête. J'suis fatigué de toutes les fois où j'ai voulu aider et que j'ai pas pu. J'suis fatigué d'être dans le noir. Dans la douleur. Y a trop de mal partout. Si j'pouvais, y en aurait plus. Mais j'peux pas."
"Un lino d’un vert pisseux recouvrait le sol du large couloir traversant le bloc E, et ce qu’on appelait dans les autres prisons la dernière ligne était chez nous, à Cold Mountain, surnommé la ligne verte"
"Il y avait quatre ou cinq gardes à chaque permanence au bloc, mais beaucoup d’entre eux étaient des intérimaires. Dean Stanton, Harry Terwilliger et Brutus Howell (les hommes le surnommaient « Brutal », mais c’était pour rire, ce costaud n’aurait pas fait de mal à une mouche, à moins d’y être forcé) sont tous morts aujourd’hui, et Percy Wetmore aussi est crevé, lui qui était vraiment brutal et stupide. Percy n’avait rien à faire au bloc E, où une nature haineuse n’arrangeait rien et pouvait même s’avérer dangereuse, mais il était apparenté au gouverneur par sa femme, et donc indéboulonnable"
«L'expiation est puissante : c'est le verrou sur la porte que l'on referme sur le passé.»
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Par Catiminy le 5 Septembre 2013 à 20:33Peeta et Katniss sont tirés au sort pour participer aux Jeux de la Faim. La règle est simple : 24 candidats pour un seul survivant, le tout sous le feu des caméras ? Dans chaque district de Panem une société reconstruite sur les ruines des États-Unis deux adolescents sont choisis pour participer au Jeu de la Faim. La règle est simple : tuer ou se faire tuer. Celui qui remporte l épreuve, le dernier survivant, assure la prospérité à son district pendant un an. Katniss et Peeta sont les « élus » du district numéro douze. Les voilà catapultés dans un décor violent, semé de pièges, où la nourriture est rationnée et, en plus, ils doivent remporter les votes de ceux qui les observent derrière leur télé... Alors que les candidats tombent comme des mouches, que les alliances se font et se défont, Peeta déclare sa flamme pour Katniss à l antenne. La jeune fille avoue elle-aussi son amour. Calcul ? Idylle qui se conclura par la mort d un des amants ? Un suicide ? Tout est possible, et surtout tout est faussé au sein du Jeu de la Faim...
A la veille de la sortie de la suite du 1, je n'ose mettre aucun commentaire...
Sachez juste que j'ai dévoré ces romans. Ils sont remarquablement bien écrits! L'histoire est captivante!
Je vous les recommande!!!!
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Par Catiminy le 4 Juillet 2013 à 20:43
"
Quelque part en Europe, 35 000 ans avant notre ère…
Petite fille de cinq ans, Ayla est séparée de ses parents à la suite d’un violent tremblement de terre. Elle est recueillie par une tribu qui l’adopte, non sans réticence, ayant reconnu en elle la représentante d’une « autre » espèce, plus évoluée.
Ayla appartient en effet déjà aux hommes de Cro-Magnon alors que son clan d’adoption en est encore au stade du Neandertal.
Iza la guérisseuse, Brun le chef, Mog-ur le sorcier lui enseignent les règles de la vie communautaire, leurs rites, leurs peurs, leurs audaces. Mais Ayla, moins velue, plus élancée, les surprend par sa puissance de raisonnement qui lui permet de s’adapter, de réagir rapidement et de ne plus être totalement dépendante de son environnement.
Avec les années, elle dépasse les autres membres en taille, en savoir, en détermination. Elle s’oppose souvent à leurs coutumes, enfreint leurs règles. Le clan songe alors à la supprimer. Violée par le fils de Brun, appelé à succéder un jour à son père, Ayla mettra au monde un garçon dont l’apparence physique annonce d’ores et déjà l’inéluctable évolution de l’espèce…
Injustement chassée par la tribu qui l’avait adoptée, Ayla erre à travers les steppes désolées du nord de l’actuelle mer Noire dans l’espoir de retrouver son peuple d’origine, et finit par trouver refuge dans une vallée où vit un troupeau de chevaux sauvages.
Luttant pour sa survie, elle fait d’extraordinaires découvertes et parvient en particulier à percer le secret du feu. Elle adopte aussi une jeune pouliche et un lionceau et parcourt dès lors le vaste monde sur le dos de sa monture, chassant en compagnie du plus puissant des prédateurs.
Pour être pleinement heureuse, il ne lui manque qu’un compagnon. Mais le destin veille…
Le jeune et blond Jondalar, de la tribu des Zelandonii, après un long voyage initiatique riche en péripéties, finira par la rejoindre et partagera sa vie dans la vallée.
Grâce à lui, Ayla va faire une découverte aussi importante que celle du feu : l’amour
Ils ont chacun quitté leur clan, l’une chassée par les siens, l’autre poussé par l’esprit d’aventure. Ils se sont rencontrés dans la vallée des chevaux, ils ont appris à vivre ensemble, à se parler et à s’aimer. Ayla et Jondalar sont le cœur vivant de notre humanité.
Seuls, ils sont maintenant à la recherche de nouvelles contrées et espèrent y rencontrer d’autres êtres humains.
Bientôt, ils découvrent la société des Mamutoï, la tribu des chasseurs de mammouths, qui accueillent le jeune couple avec chaleur et simplicité.Ils échangent leur savoir, leurs croyances. La familiarité d’Ayla avec les animaux, ses talents de guérisseuse fascinent les Mamutoï, et particulièrement Ranec, un sculpteur sur ivoire, homme à la peau sombre, adopté par la tribu quand il n’était encore qu’un enfant.
En quête d’un lieu qui deviendrait leur foyer, Ayla et Jondalar affronteront mille périls et feront maintes découvertes au cours de ce voyage initiatique à travers un monde inconnu, dangereux et grandiose.
Le cinquième roman tant attendu de Jean Auel reprend le fil de la somptueuse saga préhistorique entamée avec Le Clan de l’Ours des Cavernes.
Fruit de l’inimitable talent narratif de son auteur et bâti sur une documentation sans faille, il va combler les inconditionnels de la première heure et sans nul doute conquérir de nouveaux lecteurs.
Après un voyage épique à travers l’Europe, Ayla et Jondalar sont arrivés à l’emplacement de la Neuvième Caverne, un camp de l’âge de la pierre ancien situé dans l’actuel sud-ouest de la France. C’est là que vit la tribu de Jondalar, les Zelandonii.
Si Ayla a pourtant beaucoup à partager avec les Zelandonii, en particulier des pratiques et des connaissances médicinales, elle sait qu’elle doit d’abord s’initier à leurs coutumes et leur mode de vie afin d’être reconnue comme une des leurs. Surtout que la tribu peut apprendre d’un moment à l’autre qu’elle fut élevée par ceux du Clan, des hommes de Néanderthal que les Zelandonii considèrent comme des animaux.
Peu à peu, gagnant la confiance du groupe, Ayla leur apprendra, entre autres, que ceux du Clan sont pourtant des humains…
Le temps passe doucement et Ayla aspire désormais à la paix et à la quiétude, à rester auprès de Jondalar et à avoir des enfants. Pourtant, comment oublier ses prodigieux dons spirituels…
Alors qu’elle donne bientôt naissance à cet enfant très attendu, elle prend conscience du rôle éminent qu’elle est appelée à jouer dans la destinée des Zelandonii."
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Par Catiminy le 25 Juin 2013 à 12:36
Le clan de l'ours de la caverne.
Résumé: Wikipédia (coupé)
L'histoire commence lorsqu'une fillette de 5 ans se retrouve soudain orpheline et sans abri à la suite d'un tremblement de terre qui a détruit le campement de sa famille. Nue et incapable de se nourrir, elle erre pendant plusieurs jours sans savoir où elle va, jusqu'au moment où, après avoir été attaquée et grièvement blessée par un lion des cavernes, mourant de faim, d'épuisement et de ses plaies qui s'infectent, elle s'effondre presque morte.
Le récit présente ensuite un groupe de personnes – le Clan – qui se retrouvent également sans abri car le tremblement de terre a détruit leur grotte et qui errent à la recherche d'un nouvel endroit où se fixer. Alertée par les vautours qui tournoient au-dessus de l'enfant inconsciente, la guérisseuse du groupe, Iza, demande à Brun, le chef du clan, la permission de sauver la petite abandonnée. Elle met à profit ses grandes connaissances des herbes médicinales et ses techniques pour soigner la petite fille et la ramener à la vie. Quand elle reprend conscience, l'enfant est choquée en voyant que ses sauveurs sont physiquement très différents de ceux qu'elle connaissait : ce sont des Néandertaliens alors qu'elle est une « Cro-Magnon », de l'espèce Homo sapiens (dont ses sauveurs parlent en les appelant « les Autres »).
Extraits:
"La douce caresse de la petite fille émut profondément ce vieux coeur solitaire. Il désira communiquer avec elle et se demanda un instant comment y parvenir.
– Creb, dit-il en se désignant du doigt.
Iza les regardait tranquillement en attendant que ses fleurs infusent. Elle était heureuse de l’intérêt que son frère portait à l’enfant.
– Creb, répéta-t-il en se frappant la poitrine.
La fillette tendit le visage en avant, essayant de comprendre ce qu’il attendait d’elle. Creb répéta son nom pour la troisième fois. Soudain son regard s’éclaira, et elle se redressa en souriant.
– Grub ? répondit-elle en roulant les r comme lui. (…)
Il se frappa la poitrine en disant son nom, puis frappa celle de la fillette. Le large sourire de compréhension qui illumina l’enfant fit à Creb l’effet d’une grimace, et quant au mot polysyllabique qui tomba de ses lèvres, il était non seulement imprononçable, mais quasiment incompréhensible (…)
– Ay-rr, répéta-t-il, hésitant. Ay-lla, Ayla ?""Dans le monde matériel, un homme était plus grand, plus fort, bien plus puissant qu'une femme, mais dans le monde terrible des forces invisibles, la femme était l'héritière naturelle d'une force potentiellement plus conséquente. Pour les hommes la faiblesse physique de la femme était précisément ce qui permettait d'établir l'équilibre entre elles et eux. Qu'on permit aux femmes de réaliser toute la force qu'elles avaient en puissance, et c'en serait fini de cet équilibre."
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Par Catiminy le 17 Juin 2013 à 10:26
Résumé par Wikipédia.
Durant l'été 1922, Jean et Ferdinand sont élevés par leur grand-mère paternelle dans le château familial de la Belle-Angerie, à quelques kilomètres d'Angers. Le décès de leur grand-mère oblige leurs parents, Jacques et Paule, à quitter la Chine où le père est cadre dans une université chinoise, pour revenir s’occuper de leurs enfants.
Avec impatience et curiosité, les deux enfants attendent leurs parents et le petit frère qu’ils ne connaissent pas sur le quai de la gare. En se jetant sur leur mère pour l’embrasser, ils se font violemment repousser par cette dernière qui souhaite descendre tranquillement du train. Leur nouveau petit frère, Marcel, leur adresse un salut presque froid. Seul leur père les embrasse.
De retour au château, la famille et le personnel sont convoqués dans la salle à manger pour écouter la nouvelle organisation de la famille : le père annonce un emploi du temps spartiate, avec messe dans la chapelle privée dès le commencement de la journée, vers 5 h 30, et à son achèvement vers 21 h 30. Pendant la journée, les études sont dispensées par l'abbé qui vit avec eux. Soudain, le père prend prétexte d’avoir des mouches à piquer pour se retirer, laissant ainsi sa femme, Paule, annoncer ses propres directives : les enfants n’auront plus le droit au café au lait le matin mais à la soupe, ils auront les cheveux tondus par mesure d'hygiène et, par sécurité, elle ôte les poêles, les édredons et les coussins dans leur chambre. Elle leur confisque tous leurs objets personnels. Quant aux heures de recréations, elles doivent être consacrées à l'entretien du parc. Pour ne pas user leurs chaussures et chaussettes, elle leur impose le port de lourds sabots, qu'ils « peuvent » porter avec de la paille s'il fait froid…
En peu de temps, les enfants sont affamés, frigorifiés, privés de tout confort, de toute tendresse, et constamment sujets à des brimades, punitions ou humiliations de la part de leur mère, sous l'œil de leur père qui semble préférer ne rien voir pour éviter un conflit avec sa femme.
Au cours des repas, elle n’hésite pas à piquer violemment un de ses fils avec la fourchette s'ils n’adoptent pas une tenue qu'elle considère correcte. Quand la gouvernante tente de s’interposer, Paule la renvoie immédiatement, comme elle l'a déjà fait pour tout le personnel, à l’exception de Fine, la vieille cuisinière, à sa merci du fait qu'elle est sourde et muette. Les enfants qui détestent leur mère lui trouvent le surnom qu'elle porte dorénavant en permanence : « Folcoche », contraction de Folle et Cochonne. Ils gravent partout où ils le peuvent des VF rituels, signifiant Vengeance à Folcoche. Jean, le narrateur, est le fils qu'elle déteste le plus car il fait preuve d'une certaine audace, notamment en la fixant intensément pendant les repas, "rituel" que les frères appellent « pistolétade ».
(J'abrège ici car le résumé sur Wikipédia est trop long, pas assez synthétisé à mon goût). Les extraits que je vais mettre me semblent tellement plus éloquents).
(...)Mais ton regard est entré dans le mien et ton jeu est entré dans mon jeu. Toujours en silence, toujours infiniment correct comme il convient, je te provoque avec une grande satisfaction. Je te cause, Folcoche, m'entends-tu ? Oui, tu m'entends. Alors je vais te dire : "T'es moche ! Tu as les cheveux sec, le menton mal foutu, tes oreilles sont trop grandes. T'es moche, ma mère. Et si tu savais comme je ne t'aime pas. Je te le dis avec la même sincérité que le "va, je ne te hais point" de Chimène, dont nous étudions en ce moment le cornélien caractère. Moi, je ne t'aime pas. Je pourrais te dire que je te hais, mais ça serait moins fort. Oh! tu peux durcir ton vert de prunelle, ton vert-de-gris de poison de regard. Moi, je ne baisserai pas les yeux.(...)
(...)Certes, nous étions satisfaits du départ de Folcoche. Heureux, non. On ne construit pas un bonheur sur les ruines d'une longue misère. Notre joie n'avait pas de boussole. Nous étions désorientés. J'imagine assez le désarroi des adorateurs de Molock et Kali, soudain privés de leurs vilains dieux. Nous n'avions rien à mettre à la place du nôtre. La haine, beaucoup plus encore que l'amour, ça occupe.(...)
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Par Catiminy le 14 Juin 2013 à 11:43
Georges Milton et Lennie Small sont deux amis qui errent sur les routes de Californie en travaillant comme saisonniers de ranch en ranch. George et Lennie partagent depuis toujours le même rêve : posséder un jour une petite exploitation, pour y vivre « comme des rentiers » et y élever des lapins. Lennie nourrit une passion bien enfantine : il se plaît énormément à caresser les choses douces. Doté d’une très grande force physique, il ne parvient pas à dominer sa puissance hors de l'ordinaire. Il est également intellectuellement déficient, et passe constamment pour un « idiot ».
Cela finit par lui causer des ennuis notamment avec Curley, le fils du patron, et sa belle et jeune femme. En effet, lorsque cette dernière va proposer à Lennie de toucher ses cheveux, tout va mal tourner. (WIKIPEDIA)
Extrait:
(...)
«- Les types comme nous, ils n'ont pas de famille. Ils s' font un peu d'argent, et puis ils le dépensent tout. Y a personne dans le monde pour se faire de la bile à leur sujet...- Mais pas nous, s'écria Lennie tout heureux. Raconte comment c'est pour nous.
Georges resta un instant tranquille :
- Mais pas nous, dit-il.
- Parce que...
Parce que moi, j' t'ai et...
- Et moi, j' t'ai. On est là tous les deux à se faire de la bile l'un pour l'autre, voilà ! s'écria Lennie, triomphant. »(...)(...) Elles étaient si petites, dit-il pour s'excuser. J’les caressais, et puis bientôt, elles me mordaient les doigts, alors, je leur pressais un peu la tête, et puis elles étaient mortes... parce qu'elles étaient si petites. George, j’voudrais bien qu'on les ait bientôt, les lapins. Ils n' sont pas si petits(...)
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